PBI Guatemala s’est entretenu avec Feliciana Macario, représentante de CONAVIGUA, Coordination Nationale des Veuves du Guatemala, sur la fermeture des institutions de paix, et ce que cela signifie pour les organisations de victimes du conflit armé interne.  

En 2020, le président Alejandro Giammattei a annoncé la fermeture définitive du Secrétariat à la paix (SEPAZ) et du Secrétariat aux Affaires Agraires (SAA), créés dans le cadre des Accords de Paix (1997), et aussi la fermeture de la Commission Présidentielle pour la Coordination de la Politique Exécutive sur les Droits de l'Homme (COPREDEH), qui chargée du suivi des résolutions et jugements du Système Interaméricain des Droits de l'Homme.

PBI Guatemala s’est entretenu avec Feliciana Macario, représentante de CONAVIGUA, Coordination Nationale des Veuves du Guatemala, sur la fermeture des institutions de paix, et ce que cela signifie pour les organisations de victimes du conflit armé interne.  

En 2020, le président Alejandro Giammattei a annoncé la fermeture définitive du Secrétariat à la paix (SEPAZ) et du Secrétariat aux Affaires Agraires (SAA), créés dans le cadre des Accords de Paix (1997), et aussi la fermeture de la Commission Présidentielle pour la Coordination de la Politique Exécutive sur les Droits de l'Homme (COPREDEH), qui chargée du suivi des résolutions et jugements du Système Interaméricain des Droits de l'Homme.

A l’occasion de la journée internationale des victimes de disparitions forcées, PBI souligne les défis auxquels les victimes de disparitions forcées doivent faire face et célèbre leur combat en faveur de la justice.

Le 29 juin 2016, la Cour supérieure de justice guatémaltèque a exigé que les travaux de construction de la mine d’or et d’argent de La Puya soient définitivement interrompus. Les juges ont en effet unanimement estimé que l’octroi du permis d’extraction constituait une violation des droits de la population locale.

L'observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l'homme publie un rapport sur le phénomène préoccupant de la criminalisation des défenseurs des droits humains en Amérique latine, la plupart du temps en lien avec des projets industriels et d'extraction des ressources naturelles.

Le rapport s'intéresse à huit pays d'Amérique latine, dont le Mexique, la Colombie, le Honduras et le Guatemala, pays où PBI accompagne de nombreux défenseurs victimes de criminalisation.

Ce documentaire de 25 minutes suit quatre femmes et hommes qui luttent pour la défense de la terre et du territoire dans le contexte d'investissements européens à grande échelle en Colombie, au Mexique, au Guatemala et au Honduras. Les défenseurs de la terre et du territoire en Amérique latine travaillent dans un contexte très dangereux et risquent quotidiennement leur vie et leur liberté.

L’énième report du procès de l'ancien dictateur guatémaltèque José Efraín Ríos Montt, qui devait s'ouvrir lundi 5 janvier 2015, représente une menace pour le droit des victimes à la justice.

En mai 2013, Ríos Montt, ancien dictateur du Guatemala, avait été reconnu coupable de génocide et crimes contre l’humanité. Toutefois, la condamnation fut annulée quelques jours plus tard pour vice de procédure. Début 2015, le procès a entamé une nouvelle phase. En effet, le 5 janvier dernier, le procès à l’encontre de Ríos Montt et d’un ancien chef de service secret, José Mauricio Rodríguez Sánchez, a été reconduit devant la Cour d’appel.

Lors d'une grève nationale, des membres de la Coordination paysanne centrale Chortí Nuevo Día (CCCND), basée à Camotán dans le département de Chiquimula et accompagnée par PBI, ont participé les 17 et 18 septembre dernier à une manifestation pacifique. Le matin du 18 septembre, PBI a été témoin du dispersement de cette manifestation par la violence. 200 policiers  sont rentrés dans la foule à l'aide d'armes à feu, de gaz lacrymogènes, de pierres et de bâtons.

Isabel Turuy Patzan est maire communautaire et originaire de la communauté El Pilar II, qui se trouve dans la municipalité de San Juan Sacatepéquez, située à une trentaine de kilomètres de la capitale Guatemala. Agé de 32 ans, il est devenu, depuis 2009, le porte-parole des douze communautés de San Juan Sacatepéquez, qui comptent près de 60 000 habitants en majorité mayas kaqchikeles dont 80% vivent de l’agriculture. Isabel est lui même floriculteur, spécialisé dans la production de roses.

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