PBI Guatemala s’est entretenu avec Feliciana Macario, représentante de CONAVIGUA, Coordination Nationale des Veuves du Guatemala, sur la fermeture des institutions de paix, et ce que cela signifie pour les organisations de victimes du conflit armé interne.  

En 2020, le président Alejandro Giammattei a annoncé la fermeture définitive du Secrétariat à la paix (SEPAZ) et du Secrétariat aux Affaires Agraires (SAA), créés dans le cadre des Accords de Paix (1997), et aussi la fermeture de la Commission Présidentielle pour la Coordination de la Politique Exécutive sur les Droits de l'Homme (COPREDEH), qui chargée du suivi des résolutions et jugements du Système Interaméricain des Droits de l'Homme.

PBI Guatemala s’est entretenu avec Feliciana Macario, représentante de CONAVIGUA, Coordination Nationale des Veuves du Guatemala, sur la fermeture des institutions de paix, et ce que cela signifie pour les organisations de victimes du conflit armé interne.  

En 2020, le président Alejandro Giammattei a annoncé la fermeture définitive du Secrétariat à la paix (SEPAZ) et du Secrétariat aux Affaires Agraires (SAA), créés dans le cadre des Accords de Paix (1997), et aussi la fermeture de la Commission Présidentielle pour la Coordination de la Politique Exécutive sur les Droits de l'Homme (COPREDEH), qui chargée du suivi des résolutions et jugements du Système Interaméricain des Droits de l'Homme.

Entre 1958 et 1974, période dite du Front National, le Parti Conservateur et le Parti Libéral s’étaient mis d’accord pour se partager le pouvoir. C’est précisément à ce moment là que sont apparues les FARC. Ce manque d’ouverture démocratique se maintient sous diverses formes encore aujourd’hui. Par le passé, plusieurs tentatives de paix ont eu lieu avec différentes guérillas (FARC, ELN, M- 19 notamment). Leur réinsertion civile et leur participation politique faisaient déjà partie des points soulevés mais n’ont jamais réellement eu lieu.

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